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Croix-Rouge de Belgique
13.03.2015 |

Léguer à la Croix-Rouge, c'était une évidence

Léguer à la Croix-Rouge, c'était une évidence

« Léguer à la Croix-Rouge, c’était une évidence »

« Il y a beaucoup d’œuvres en Belgique… J’ai choisi la Croix-Rouge comme une évidence, car elle est parmi les plus importantes. J’en entendais parler depuis toujours, aussi loin que je m’en souvienne. J’ai préféré donner de plus gros moyens à une seule association plutôt que de disperser mes biens entre plusieurs. Les besoins sont tellement importants ».

Geneviève, 93 ans, a fait son choix voici 13 ans déjà: célibataire, sans enfants ni aucune famille proche, elle a décidé de léguer tous ses avoirs à la Croix-Rouge de Belgique. Jusqu’il y a peu, cette Verviétoise d’origine, installée à Bruxelles depuis ses deux ans, vivait tranquillement chez elle, dans son appartement de Schaerbeek, retraitée après une longue carrière chez Solvay. Deux chutes sérieuses, coup sur coup, l’ont conduite en revalidation, puis en maison de repos, sans quitter Schaerbeek, sa commune, son quartier Meiser, où elle a toujours vécu et a gardé ses habitudes.

« Je savais que la Croix-Rouge était toujours présente à chaque accident, grave ou pas. Lors de chaque catastrophe. Je l’ai soutenue de très longue date comme donatrice. J’ai également suivi une formation en premiers secours. J’ai beaucoup aimé, d’ailleurs, le film retraçant la vie  de son fondateur, Henri Dunant, c’était un grand monsieur. Un jour, j’ai lu un entrefilet dans le journal de la Croix-Rouge où l’on parlait de Florence Doyen comme personne s’occupant des dossiers de legs. Son contact était mentionné ».

C’est heureux d’avoir quelqu’un avec qui l’on s’entend bien

C’est ainsi que Geneviève, qui ne se connait que de lointains cousins en France, fit la connaissance de Florence en 2002. Le contact fut excellent dès le départ. C’est heureux d’avoir quelqu’un avec qui l’on s’entend bien. Florence et Geneviève se rencontrent chaque mois depuis treize ans; Florence est toujours là en cas de besoin, comme ces moments-ci, pour  aider au déménagement vers la maison de repos. C’est important, car au fil des années, les contacts sociaux se raréfient, les amis vieillissent, meurent… Dans la vie, j’ai beaucoup travaillé, mais une fois à l’âge de la pension, je me suis aussi beaucoup dévouée à assister ma maman. Elle a vécu chez elle jusque ses 76 ans, avant de s’installer en maison de repos. Elle y est décédée à 99 ans. J’ai été présente à ses côtés pendant toutes ces années…

Confiance, sincérité et conseil

Quand elle ne sera plus là, Geneviève sait que son legs servira à aider les plus démunis de la société. « Je n’ai pas d’exigence particulière, la Croix-Rouge utilisera mon don là où les besoins sont les plus urgents. Je lui fais confiance ». Tout comme elle fit confiance à Florence, dont elle apprécia la sincérité du discours et le conseil judicieux.

J’aime écouter nos testateurs, explique pour sa part Florence Doyen. Ils ont l’expérience de la vie. Chacun a une histoire, une sagesse à partager.

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