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Croix-Rouge de Belgique
08.08.2019 |

La Croix-Rouge de Belgique, par et pour les jeunes

Rassemblement de volontaires à Solferino

La journée internationale de la jeunesse est l’occasion pour la Croix-Rouge de Belgique de revenir sur le rôle fondamental que jouent les moins de 35 ans dans les actions qui donnent tous les jours vie à l’organisation. Aux premières loges ou en coulisse, dans les écoles et les universités, la jeunesse renouvelle partout l’action de la Croix-Rouge en Belgique.

Un quart des volontaires ont moins de 35 ans

Avec près de 11.200 volontaires à travers la Belgique francophone, la Croix-Rouge de Belgique lutte chaque jour auprès des plus vulnérables pour rendre leur fardeau moins lourd. Parmi ces femmes et ces hommes, 2631 – soit un quart d’entre elles et eux – ont entre 16 et 35 ans. Cette jeunesse, qui s’active dans les secours ou l’action sociale, correspond à ce que la Croix-Rouge Jeunesse nomme les « CRACS » : de jeunes citoyens responsables, actifs, critiques et solidaires.

Près de 40% des salarié·es ont moins de 35 ans

Mais les près de 1.500 membres salariés de la Croix-Rouge de Belgique comptent également dans leur rang une grande proportion de jeunes âgés de moins de 35 ans. Ils représentent près de 40% des forces vives qui soutiennent chaque jour le grand réseau de volontaires de la Croix-Rouge en Belgique. Ils sont 30% à avoir moins de 30 ans. La plus jeune d’entre eux à occuper un poste à responsabilités est âgée de tout juste 23 ans et travaille à Namur.

L’engagement dès l’école

Mais si la jeunesse occupe de la place parmi les personnes qui permettent à la Croix-Rouge d’agir, c’est que la graine de l’engagement germe tôt, et bien en amont de nos rangs. Dans le secondaire, par exemple, 12 points Croix-Rouge ont éclos. Deux à Bruxelles, trois en province du Luxembourg, quatre dans le Hainaut et trois à Namur.

L’engagement étudiant

Dans l’enseignement supérieur aussi, des jeunes se mobilisent pour faire vivre les valeurs et les principes de la Croix-Rouge. Il existe deux kots à projets : l’un à l’UCL, l’autre à l’UNamur, et un cercle CRACS à l’ULB. De quoi fonder de légitimes espoirs sur les millenials, et continuer à leur faire la part belle au sein du mouvement.